Pollution via la peau
La peau est un organe totalement perméable. À peu près tout ce qui est appliqué sur la peau finit dans le sang et est diffusé dans tout le corps.
N'appliquez donc sur votre corps que ce que vous seriez prêt à avaler si vous y étiez obligé.
Aujourd'hui on ne compte plus les études qui montrent que les substances contenues dans les cosmétiques et produits de soins corporels passent dans le sang et interfèrent avec la chimie de notre corps : phtalates, parabènes, lauryl sulfate de sodium, méthylisothiazolinone, toluène, métaux lourds, etc.
Par exemple, en 2000, l’EWG (Environmental Working Group), a publié une étude révélant que 37 vernis à ongles commercialisés par 22 entreprises contenaient du phtalate de dibutyle (DBP). Le DBP provoque des troubles permanents de la reproduction chez le rat mâle, cause des dommages aux testicules, à la prostate, à l’épididyme, au pénis et aux vésicules séminales chez l’animal. Une étude du CDC (US Centers for Disease Control and Prevention) a constaté chez des femmes en âge de procréer des taux très élevés de cette substance responsable de malformations congénitales chez l'animal.
Dans le rapport intitulé « Dangers des métaux lourds : les risques cachés des métaux lourds dans les produits de maquillage », la Défense environnementale a testé 49 produits de maquillages . Presque tous ces produits se sont avérés gravement contaminés par des métaux lourds : plomb, béryllium, cadmium, thallium et arsenic.
Quinze substances sont clairement liées à la ménopause précoce (PCB, pesticides, phtalates, furanne), donc un ralentissement de la fonction ovarienne, mais la plupart de ces substances sont déjà connues pour favoriser d'autres problèmes de santé : cancer, syndrome métabolique, puberté précoce, problèmes cognitifs, immunitaires, etc...
La solution consiste soit à lire les étiquettes et choisir des cosmétiques qui ne contiennent que des ingrédients connus (par exemple, utiliser des mélanges d'huiles sèches sans additifs au lieu des crèmes), soit à acheter des produits de "slow cosmetic" (voir le site de Julien Kaibeck), soit à fabriquer soi-même ses produits d'hygiènes (beaucoup plus simple qu'on ne le pense), à base d'huiles essentielles, d'huiles végétales, d'hydrolats, d'argile, de poudres de plantes, etc.
La peau est un organe totalement perméable. À peu près tout ce qui est appliqué sur la peau finit dans le sang et est diffusé dans tout le corps.
N'appliquez donc sur votre corps que ce que vous seriez prêt à avaler si vous y étiez obligé.
Aujourd'hui on ne compte plus les études qui montrent que les substances contenues dans les cosmétiques et produits de soins corporels passent dans le sang et interfèrent avec la chimie de notre corps : phtalates, parabènes, lauryl sulfate de sodium, méthylisothiazolinone, toluène, métaux lourds, etc.
Par exemple, en 2000, l’EWG (Environmental Working Group), a publié une étude révélant que 37 vernis à ongles commercialisés par 22 entreprises contenaient du phtalate de dibutyle (DBP). Le DBP provoque des troubles permanents de la reproduction chez le rat mâle, cause des dommages aux testicules, à la prostate, à l’épididyme, au pénis et aux vésicules séminales chez l’animal. Une étude du CDC (US Centers for Disease Control and Prevention) a constaté chez des femmes en âge de procréer des taux très élevés de cette substance responsable de malformations congénitales chez l'animal.
Dans le rapport intitulé « Dangers des métaux lourds : les risques cachés des métaux lourds dans les produits de maquillage », la Défense environnementale a testé 49 produits de maquillages . Presque tous ces produits se sont avérés gravement contaminés par des métaux lourds : plomb, béryllium, cadmium, thallium et arsenic.
Quinze substances sont clairement liées à la ménopause précoce (PCB, pesticides, phtalates, furanne), donc un ralentissement de la fonction ovarienne, mais la plupart de ces substances sont déjà connues pour favoriser d'autres problèmes de santé : cancer, syndrome métabolique, puberté précoce, problèmes cognitifs, immunitaires, etc...
La solution consiste soit à lire les étiquettes et choisir des cosmétiques qui ne contiennent que des ingrédients connus (par exemple, utiliser des mélanges d'huiles sèches sans additifs au lieu des crèmes), soit à acheter des produits de "slow cosmetic" (voir le site de Julien Kaibeck), soit à fabriquer soi-même ses produits d'hygiènes (beaucoup plus simple qu'on ne le pense), à base d'huiles essentielles, d'huiles végétales, d'hydrolats, d'argile, de poudres de plantes, etc.