Mai 2019, Anne : la vie de son enfant bascule après le vaccin Infanrix
"C. est née en mai 2017 (40 semaines d'aménorrhée + grossesse sans complication)
A la naissance, je remarque qu'elle a les membres qui s'affolent parfois et j'ai régulièrement ressenti le besoin de la sécuriser en la prenant dans mes bras ou bien, la nuit, (je la garde près de moi), en lui caressant le dos.
Frein de langue court sectionné au 4è jour de vie (allaitement en grande difficulté au départ)
Développement très avancé. A 3 mois, elle tourne sur le côté (elle a même la volonté d'aller sur le ventre !), se met en position de regroupement lorsqu'on vient la prendre dans nos bras, sourit, babille, est particulièrement attentive et son interaction avec moi est impressionnante (lorsque je joue avec elle, elle ne me quitte pas des yeux, est en attente de découvertes et participe avec enthousiasme à mes propositions.
Août 2017, Infanrix Hexa + Prevnar : sa vie bascule. Immédiatement après le vaccin, elle hurle et je ne parviens pas à la calmer, même avec le lait maternel. Double douleur ignorée par le médecin : la vaccination + l'oesophagite (elle se retirait du sein en hurlant, à cause du reflux). Ce jour-là, elle a beaucoup dormi (peut-être 3 heures dans l'après-midi) et aussi beaucoup pleuré dans l'après-midi, longtemps, au point d'être inconsolable. Pas de fièvre, mais un état hypotonique qui s'est maintenu durant 3 mois. Elle n'était plus la même. Et puis les jours ont passés. Un jour, puis deux, puis... Lorsque le cinquième jour est arrivé, identique aux précédents, moi et mon mari avons commencé à avoir vraiment très peur. Cette petite fille au regard vif ne savait plus faire ce qu'elle savait pourtant faire jusqu'à présent. Elle restait sur le tapis d'éveil sur le dos n'agitant plus que les membres sans plus jamais tourner sur le côté, toute fatiguée, hypotonique et paradoxalement raide.
C. souffre. Constamment pleure de douleur. Elle ne peut plus bouger : elle est hypotonique et n'arrive plus à tourner sur le côté (durant quelques jours, elle a tenté mais me regardait démunie). Un moment, nous avons cru qu'elle était paralysée des membres ou bien qu'on lui avait ôté le "programme" dans son cerveau. Sur la table à langer, elle est pataude, ne lève plus les jambes. Elle n'est plus dynamique, ne sourit plus, ne se regroupe plus lorsqu'on vient la chercher dans son lit. Mais paradoxalement, elle est aussi toute tendue. Ses membres très raides s'agitent beaucoup. Régression. Elle ne babille plus ou bien a des sons de nouveau gutturaux qu'elle avait eu quelques semaines plus tôt. Elle a de nouveau beaucoup de mal à saisir les objets. Son regard ne peut se déplacer qu'avec une faible amplitude (aussi bien latérale que verticale). Elle est très fatiguée, se lasse vite, elle adore les livres et c'est parfois la seule activité qu'elle veut faire et qui l'apaise. Elle dormait peu en journée, mais de ce point de vue, la situation empire : elle dort difficilement 30 minutes le matin et une heure l'après-midi. Ses pleurs sont indistincts. Elle a de longues phases d'absence pendant lesquelles elle ne réagit pas à mes sollicitations. Il y a même des périodes où son regard fuit. J'ai eu la sensation d'avoir été la chercher très loin (j'ai repris le contact avec elle, en faisant beaucoup de peau à peau pendant 48h). La diversification commence dans les pleurs : elle veut découvrir mais très vite, hurle. Peu à peu, elle s'habitue et prend plus volontiers les solides que je lui propose, mais en petites quantités. La nuit, elle se réveille très souvent.
Avant le vaccin, à 2 mois, elle avait des selles tous les jours. En tout cas, à la fin de ses 3 mois, elle avait des selles tous les 2-3 jours. Après le vaccin, tous les 7-10 jours. Et avec la diversification, constipation très forte (j'étais impressionnée par sa douleur, la grosseur et la dureté des selles).
A 4 mois, elle a pleuré 3 nuits de suite en hurlant et se tendant de tout son long durant un bon moment. J'étais désemparée, incapable d'identifier une cause possible. Très difficile de l'apaiser. C. a aussi des problèmes de peau.
A 6 mois, je contacte une praticienne d'une méthode d'homéopathie par contact. Maigre changement : acquis peu solides, instables. Il lui faut beaucoup beaucoup de temps avant de pouvoir saisir vraiment par exemple.
La situation m'inquiète beaucoup et je pressens que le temps est compté et qu'il faut absolument sortir ma fille de là au plus vite. Consultations multiples pour trouver une issue :
- ostéopathe : au moins 7 fois. Déblocage du dos, de la nuque ou bien du bassin.
- une autre ostéopathe : elle va bien mais elle a la dure-mère toute tendue comme si elle avait eu un choc traumatique.
- Endocrinologie pédiatrique : RAS
- Ophtalmo : RAS
- Neuro-pédiatre : RAS
- Gastro-pédiatre : RAS, c'est une auto-constipation.
- consultation d'une autre pédiatre : petite fille hypertonique
- consultation de ma propre généraliste : RAS - mais c'est du reflux et on en a déjà parlé. Vous lui donnez du Gaviscon et puis voilà.
- consultation de la PMI : tensions liées à une oesophagite (Gaviscon) et quant au reste, RAS
- consultation d'une autre généraliste : il y a un truc qui ne va pas, mais je ne peux rien pour vous, la médecine ne peut rien pour vous ; informez moi de vos démarches. Et puis, dans un troisième temps, elle déclenche un rendez-vous chez l'ophtalmo et me recommande de voir une neuro-pédiatre (elle se rassure avec le compte-rendu de celle-ci et me laisse chercher).
- psychomotricienne : à 4 mois, Chloé est évaluée comme ayant un niveau de compétences de 3 mois sauf pour les compétences sociales qui est de 2 mois !!! - confirmation de mon intuition, Chloé stagne et a même régressé sur certains points. La psychomot nous met sur la piste d'une affection neurologique...
- dernière consultation (à 6 mois) : chiropraticienne : Chloé a encore des blocages. Sur le plan moteur, cela a eu des répercussions. Elle semblait régresser. Chloé retrouve de la souplesse. Je suis rassurée mais pour peu de temps. Très vite, je retrouve cette sensation d'avoir perdu ma petite fille et chaque fois qu'un médecin me dit qu'il n'y a pas de problème, je reçois un coup de glaive : c'est comme si on me demandait de faire le deuil de cette petite fille que je connais. Et puis, tous refusent d'envisager le vaccin comme cause de tout cela.
Plus le temps avance et plus la bascule nous parait une évidence. Il y a bien un avant et après vaccin. Nous faisons faire un test d'allergie au mercure. Chloé est allergique au mercure.
Et pour finir, à presque 11 mois, consultation d'une pédiatre homéopathe qui prescrit des traitements homéopathiques. Chloé retrouve la motivation pour évoluer mais en fait, elle est épuisée. Chloé s'accroche à la vie. Evolution bien en-deçà de sa capacité. Cette petite personne est capable de beaucoup et son corps la freine dans son élan. Elle ne répond pas toujours lorsqu'on l'appelle. L'interaction avec elle est comme voilée parfois. Son regard me suit avec retard. Elle met un temps fou à passer à l'étape de développement suivante. La psychomot était un peu plus rassurée. Mais on sait, elle et moi, que Chloé ne fait pas son âge. Elle a peut-être 6 ou 7 mois dans sa tête (alors qu'elle avait un bon rythme d'évolution avant son vaccin). Elle note une meilleure harmonie dans le tonus de Chloé (elle avait un tronc peu tonique à la différence de ses membres lorsqu'elle a fait sa connaissance à 4 mois).
1 mois après, consultation d'Isabelle, début de la chélation ! Enfin, la vie va repartir.
Le recours à la naturopathie est totalement nouveau pour moi ! Cela me demande un changement de positionnement intérieur, un changement de raisonnement. J'ai été bercée dans le monde de la médecine conventionnelle. Mais pour moi, c'est une évidence que la médecine conventionnelle qui a fait mal par le vaccin ( -> conséquences neurologiques, digestives etc.) ne peut plus logiquement soigner Chloé. Et puis, pour moi, une chélation doit être naturelle.
Une semaine après la prise des remèdes, son évolution commence doucement à reprendre. Chloé se met à ramper alors qu'elle tentait depuis un mois et demi sans succès.
16 mois : résolution du syndrome de Kiss (ostéo) - Chloé peut marcher.
2 ans : Chloé marche avec aisance, monte les escaliers, commence à être propre, se débrouille bien en trottinette et roule sur de longues distances, veut sauter, rit, joue toute nue et commence à être propre, aime parler (début de l'apprentissage du langage, elle a encore un lexique peu étendu mais elle aime parler et se réjouit de savoir dire des mots), joue avec son frère, lui est très attentive et se réjouit de pouvoir faire comme lui. Elle aime la Vie !"
"C. est née en mai 2017 (40 semaines d'aménorrhée + grossesse sans complication)
A la naissance, je remarque qu'elle a les membres qui s'affolent parfois et j'ai régulièrement ressenti le besoin de la sécuriser en la prenant dans mes bras ou bien, la nuit, (je la garde près de moi), en lui caressant le dos.
Frein de langue court sectionné au 4è jour de vie (allaitement en grande difficulté au départ)
Développement très avancé. A 3 mois, elle tourne sur le côté (elle a même la volonté d'aller sur le ventre !), se met en position de regroupement lorsqu'on vient la prendre dans nos bras, sourit, babille, est particulièrement attentive et son interaction avec moi est impressionnante (lorsque je joue avec elle, elle ne me quitte pas des yeux, est en attente de découvertes et participe avec enthousiasme à mes propositions.
Août 2017, Infanrix Hexa + Prevnar : sa vie bascule. Immédiatement après le vaccin, elle hurle et je ne parviens pas à la calmer, même avec le lait maternel. Double douleur ignorée par le médecin : la vaccination + l'oesophagite (elle se retirait du sein en hurlant, à cause du reflux). Ce jour-là, elle a beaucoup dormi (peut-être 3 heures dans l'après-midi) et aussi beaucoup pleuré dans l'après-midi, longtemps, au point d'être inconsolable. Pas de fièvre, mais un état hypotonique qui s'est maintenu durant 3 mois. Elle n'était plus la même. Et puis les jours ont passés. Un jour, puis deux, puis... Lorsque le cinquième jour est arrivé, identique aux précédents, moi et mon mari avons commencé à avoir vraiment très peur. Cette petite fille au regard vif ne savait plus faire ce qu'elle savait pourtant faire jusqu'à présent. Elle restait sur le tapis d'éveil sur le dos n'agitant plus que les membres sans plus jamais tourner sur le côté, toute fatiguée, hypotonique et paradoxalement raide.
C. souffre. Constamment pleure de douleur. Elle ne peut plus bouger : elle est hypotonique et n'arrive plus à tourner sur le côté (durant quelques jours, elle a tenté mais me regardait démunie). Un moment, nous avons cru qu'elle était paralysée des membres ou bien qu'on lui avait ôté le "programme" dans son cerveau. Sur la table à langer, elle est pataude, ne lève plus les jambes. Elle n'est plus dynamique, ne sourit plus, ne se regroupe plus lorsqu'on vient la chercher dans son lit. Mais paradoxalement, elle est aussi toute tendue. Ses membres très raides s'agitent beaucoup. Régression. Elle ne babille plus ou bien a des sons de nouveau gutturaux qu'elle avait eu quelques semaines plus tôt. Elle a de nouveau beaucoup de mal à saisir les objets. Son regard ne peut se déplacer qu'avec une faible amplitude (aussi bien latérale que verticale). Elle est très fatiguée, se lasse vite, elle adore les livres et c'est parfois la seule activité qu'elle veut faire et qui l'apaise. Elle dormait peu en journée, mais de ce point de vue, la situation empire : elle dort difficilement 30 minutes le matin et une heure l'après-midi. Ses pleurs sont indistincts. Elle a de longues phases d'absence pendant lesquelles elle ne réagit pas à mes sollicitations. Il y a même des périodes où son regard fuit. J'ai eu la sensation d'avoir été la chercher très loin (j'ai repris le contact avec elle, en faisant beaucoup de peau à peau pendant 48h). La diversification commence dans les pleurs : elle veut découvrir mais très vite, hurle. Peu à peu, elle s'habitue et prend plus volontiers les solides que je lui propose, mais en petites quantités. La nuit, elle se réveille très souvent.
Avant le vaccin, à 2 mois, elle avait des selles tous les jours. En tout cas, à la fin de ses 3 mois, elle avait des selles tous les 2-3 jours. Après le vaccin, tous les 7-10 jours. Et avec la diversification, constipation très forte (j'étais impressionnée par sa douleur, la grosseur et la dureté des selles).
A 4 mois, elle a pleuré 3 nuits de suite en hurlant et se tendant de tout son long durant un bon moment. J'étais désemparée, incapable d'identifier une cause possible. Très difficile de l'apaiser. C. a aussi des problèmes de peau.
A 6 mois, je contacte une praticienne d'une méthode d'homéopathie par contact. Maigre changement : acquis peu solides, instables. Il lui faut beaucoup beaucoup de temps avant de pouvoir saisir vraiment par exemple.
La situation m'inquiète beaucoup et je pressens que le temps est compté et qu'il faut absolument sortir ma fille de là au plus vite. Consultations multiples pour trouver une issue :
- ostéopathe : au moins 7 fois. Déblocage du dos, de la nuque ou bien du bassin.
- une autre ostéopathe : elle va bien mais elle a la dure-mère toute tendue comme si elle avait eu un choc traumatique.
- Endocrinologie pédiatrique : RAS
- Ophtalmo : RAS
- Neuro-pédiatre : RAS
- Gastro-pédiatre : RAS, c'est une auto-constipation.
- consultation d'une autre pédiatre : petite fille hypertonique
- consultation de ma propre généraliste : RAS - mais c'est du reflux et on en a déjà parlé. Vous lui donnez du Gaviscon et puis voilà.
- consultation de la PMI : tensions liées à une oesophagite (Gaviscon) et quant au reste, RAS
- consultation d'une autre généraliste : il y a un truc qui ne va pas, mais je ne peux rien pour vous, la médecine ne peut rien pour vous ; informez moi de vos démarches. Et puis, dans un troisième temps, elle déclenche un rendez-vous chez l'ophtalmo et me recommande de voir une neuro-pédiatre (elle se rassure avec le compte-rendu de celle-ci et me laisse chercher).
- psychomotricienne : à 4 mois, Chloé est évaluée comme ayant un niveau de compétences de 3 mois sauf pour les compétences sociales qui est de 2 mois !!! - confirmation de mon intuition, Chloé stagne et a même régressé sur certains points. La psychomot nous met sur la piste d'une affection neurologique...
- dernière consultation (à 6 mois) : chiropraticienne : Chloé a encore des blocages. Sur le plan moteur, cela a eu des répercussions. Elle semblait régresser. Chloé retrouve de la souplesse. Je suis rassurée mais pour peu de temps. Très vite, je retrouve cette sensation d'avoir perdu ma petite fille et chaque fois qu'un médecin me dit qu'il n'y a pas de problème, je reçois un coup de glaive : c'est comme si on me demandait de faire le deuil de cette petite fille que je connais. Et puis, tous refusent d'envisager le vaccin comme cause de tout cela.
Plus le temps avance et plus la bascule nous parait une évidence. Il y a bien un avant et après vaccin. Nous faisons faire un test d'allergie au mercure. Chloé est allergique au mercure.
Et pour finir, à presque 11 mois, consultation d'une pédiatre homéopathe qui prescrit des traitements homéopathiques. Chloé retrouve la motivation pour évoluer mais en fait, elle est épuisée. Chloé s'accroche à la vie. Evolution bien en-deçà de sa capacité. Cette petite personne est capable de beaucoup et son corps la freine dans son élan. Elle ne répond pas toujours lorsqu'on l'appelle. L'interaction avec elle est comme voilée parfois. Son regard me suit avec retard. Elle met un temps fou à passer à l'étape de développement suivante. La psychomot était un peu plus rassurée. Mais on sait, elle et moi, que Chloé ne fait pas son âge. Elle a peut-être 6 ou 7 mois dans sa tête (alors qu'elle avait un bon rythme d'évolution avant son vaccin). Elle note une meilleure harmonie dans le tonus de Chloé (elle avait un tronc peu tonique à la différence de ses membres lorsqu'elle a fait sa connaissance à 4 mois).
1 mois après, consultation d'Isabelle, début de la chélation ! Enfin, la vie va repartir.
Le recours à la naturopathie est totalement nouveau pour moi ! Cela me demande un changement de positionnement intérieur, un changement de raisonnement. J'ai été bercée dans le monde de la médecine conventionnelle. Mais pour moi, c'est une évidence que la médecine conventionnelle qui a fait mal par le vaccin ( -> conséquences neurologiques, digestives etc.) ne peut plus logiquement soigner Chloé. Et puis, pour moi, une chélation doit être naturelle.
Une semaine après la prise des remèdes, son évolution commence doucement à reprendre. Chloé se met à ramper alors qu'elle tentait depuis un mois et demi sans succès.
16 mois : résolution du syndrome de Kiss (ostéo) - Chloé peut marcher.
2 ans : Chloé marche avec aisance, monte les escaliers, commence à être propre, se débrouille bien en trottinette et roule sur de longues distances, veut sauter, rit, joue toute nue et commence à être propre, aime parler (début de l'apprentissage du langage, elle a encore un lexique peu étendu mais elle aime parler et se réjouit de savoir dire des mots), joue avec son frère, lui est très attentive et se réjouit de pouvoir faire comme lui. Elle aime la Vie !"
Mai 2019, une maman qui raconte son enfance en Chine (maternage, alimentation, hygiène)
"J'ai été élevée en Chine, avec l'HNI (hygiène naturelle infantile)... Je m'en souviens encore. Mes petits cousins qui ont aujourd'hui bientôt 30 ans faisaient dans leur pot quand ils étaient encore bébé, accompagné par le bruit "shuuuuuuuu" de leur maman pour les encourager à faire pipi et "Mmmmmm pour faire caca".
C'était dans mon village natal. A l'époque on ne connaissait pas la poussette, il y avait les bras de maman, de mamie, de papi, des oncles, des tata, des voisins, des voisines... Et moi et mon frère (33 et 32 ans aujourd'hui), on n'a pas connu le lait en poudre. On a tété, et puis, bouillons de riz, purée de sésame, potage, poisson, viande hachée, légumes hachés... On ne connaissait ni le lit à barreaux, ni le lit avec un super matelas, on a fait beaucoup de chutes du lit assez haut, ma mère a dit qu'on a bien survécu.... On ne connaissait pas le lait de vache (trop cher), on ne mangeait pas de gâteaux, au goûter on prenait des vraies patates douces, des cacahuètes cuits à la vapeur avec un peu de sel... Ah, rien qu'en y repensant, ça me rend heureuse !!!
Comment la "civilisation", et "l'économie de marché" m'ont fait changer ces dernières années !!! A l'époque, tout était normal et naturel, aujourd'hui materner ses enfants, les allaiter, dormir avec eux et leur faire manger des vraies nourritures est devenu sectaire, utopiste, un truc de "bobo".
Merci de me rappeler que j'ai été élevée de cette façon "bizarre" ! Pourtant c'est bien ce maternage généreux qui m'a permis de décider de quitter ma famille pour venir en Europe faire des études si loin des miens. Et aujourd'hui, j'ai ma famille, mon travail, mon diplôme dans un pays étranger. Je suis contente, je me débrouille bien, mais j'ai aussi le droit d'appeler ma mère pour lui dire parfois que je suis fatiguée, et que j'ai envie d'un câlin ou de rentrer à la maison. Cela ne veut pas dire que je ne coupe pas le cordon... Ce qui me pousse à avancer, c'est justement l'amour de ma famille, qui m'assure que je peux toujours avancer sans crainte, quoi qu'il arrive, ils sont là pour moi., ma mère me le répète depuis je sais comprendre ses paroles...
J'ai oublie de vous dire, c'est tellement faux de mettre en cause l'allaitement la nuit pour expliquer les caries des bébés allaités.
Mes parents ne nous ont pas bien appris à nous brosser les dents depuis tout petits. On ne se brossait jamais les dents avant de dormir (traditionnellement on le faisait avant le petit déjeuner) et dans mon village natal, on avait l'habitude de prendre un repas de nuit avant de dormir (du riz ou des nouilles) et bah, mes parents et moi on n'a jamais eu de caries... Et malheureusement un an après mon arrivée en France, à 21 ans, j'ai eu ma première carie....
Je pense c'est l'alimentation de mauvaise qualité qui fait qu'on a des caries...."
"J'ai été élevée en Chine, avec l'HNI (hygiène naturelle infantile)... Je m'en souviens encore. Mes petits cousins qui ont aujourd'hui bientôt 30 ans faisaient dans leur pot quand ils étaient encore bébé, accompagné par le bruit "shuuuuuuuu" de leur maman pour les encourager à faire pipi et "Mmmmmm pour faire caca".
C'était dans mon village natal. A l'époque on ne connaissait pas la poussette, il y avait les bras de maman, de mamie, de papi, des oncles, des tata, des voisins, des voisines... Et moi et mon frère (33 et 32 ans aujourd'hui), on n'a pas connu le lait en poudre. On a tété, et puis, bouillons de riz, purée de sésame, potage, poisson, viande hachée, légumes hachés... On ne connaissait ni le lit à barreaux, ni le lit avec un super matelas, on a fait beaucoup de chutes du lit assez haut, ma mère a dit qu'on a bien survécu.... On ne connaissait pas le lait de vache (trop cher), on ne mangeait pas de gâteaux, au goûter on prenait des vraies patates douces, des cacahuètes cuits à la vapeur avec un peu de sel... Ah, rien qu'en y repensant, ça me rend heureuse !!!
Comment la "civilisation", et "l'économie de marché" m'ont fait changer ces dernières années !!! A l'époque, tout était normal et naturel, aujourd'hui materner ses enfants, les allaiter, dormir avec eux et leur faire manger des vraies nourritures est devenu sectaire, utopiste, un truc de "bobo".
Merci de me rappeler que j'ai été élevée de cette façon "bizarre" ! Pourtant c'est bien ce maternage généreux qui m'a permis de décider de quitter ma famille pour venir en Europe faire des études si loin des miens. Et aujourd'hui, j'ai ma famille, mon travail, mon diplôme dans un pays étranger. Je suis contente, je me débrouille bien, mais j'ai aussi le droit d'appeler ma mère pour lui dire parfois que je suis fatiguée, et que j'ai envie d'un câlin ou de rentrer à la maison. Cela ne veut pas dire que je ne coupe pas le cordon... Ce qui me pousse à avancer, c'est justement l'amour de ma famille, qui m'assure que je peux toujours avancer sans crainte, quoi qu'il arrive, ils sont là pour moi., ma mère me le répète depuis je sais comprendre ses paroles...
J'ai oublie de vous dire, c'est tellement faux de mettre en cause l'allaitement la nuit pour expliquer les caries des bébés allaités.
Mes parents ne nous ont pas bien appris à nous brosser les dents depuis tout petits. On ne se brossait jamais les dents avant de dormir (traditionnellement on le faisait avant le petit déjeuner) et dans mon village natal, on avait l'habitude de prendre un repas de nuit avant de dormir (du riz ou des nouilles) et bah, mes parents et moi on n'a jamais eu de caries... Et malheureusement un an après mon arrivée en France, à 21 ans, j'ai eu ma première carie....
Je pense c'est l'alimentation de mauvaise qualité qui fait qu'on a des caries...."
Mars 2019, Marine : découverte de la naturopathie.
"J'ai connu la naturopathie grâce à Isabelle il y a à peu près 5 ans. Depuis, finies les rhinos à répétitions, finis les antibiotiques. Mes filles, mon mari et moi sommes soignés depuis par des moyens "naturels", essayant de respecter et de comprendre ce que notre corps nous dit, cherchant à traiter la cause, le terrain, et pas seulement à en atténuer les symptômes.
Prendre soin de soi et des siens, en observant, en écoutant, en cherchant peu à peu l'autonomie grâce aux conseils d'Isabelle, c'est ce que nous faisons depuis 5 ans. J'ai pu voir et sentir, sur mes enfants et sur moi même, le grand changement sur notre santé, notre comportement et notre bien être."
"J'ai connu la naturopathie grâce à Isabelle il y a à peu près 5 ans. Depuis, finies les rhinos à répétitions, finis les antibiotiques. Mes filles, mon mari et moi sommes soignés depuis par des moyens "naturels", essayant de respecter et de comprendre ce que notre corps nous dit, cherchant à traiter la cause, le terrain, et pas seulement à en atténuer les symptômes.
Prendre soin de soi et des siens, en observant, en écoutant, en cherchant peu à peu l'autonomie grâce aux conseils d'Isabelle, c'est ce que nous faisons depuis 5 ans. J'ai pu voir et sentir, sur mes enfants et sur moi même, le grand changement sur notre santé, notre comportement et notre bien être."
Mars 2019, Charlotte : comprendre !
"Dans ma première consultation, Isabelle a totalement compris comment mon corps fonctionne, mieux que moi-même ! Elle m'a posé des questions et mes réponses lui ont fourni des informations que je n'aurais pas su interpréter, j'ignorais l'importance de ces réponses. Puis elle a choisi les remèdes en fonction de son analyse. Depuis cette époque, quand j'ai un soucis, je fais appel à Isabelle, elle est là pour moi et désormais pour mes enfants aussi. Je suis reconnaissante à Isabelle pour son écoute, son soutien et sa perspicacité".
"Dans ma première consultation, Isabelle a totalement compris comment mon corps fonctionne, mieux que moi-même ! Elle m'a posé des questions et mes réponses lui ont fourni des informations que je n'aurais pas su interpréter, j'ignorais l'importance de ces réponses. Puis elle a choisi les remèdes en fonction de son analyse. Depuis cette époque, quand j'ai un soucis, je fais appel à Isabelle, elle est là pour moi et désormais pour mes enfants aussi. Je suis reconnaissante à Isabelle pour son écoute, son soutien et sa perspicacité".
Février 2019, Sabine : infertilité.
"J'ai contacté Isabelle pour un problème d'infertilité. Elle a été la première à me parler d'endométriose. Aucun gynécologue ou endocrinologue n'avait évoqué cette maladie avec moi auparavant malgré les signes évidents : douleurs importantes au moment des règles, cycles très irréguliers (24 à 38 jours), grosses fatigues, migraines... On m'avait diagnostiqué des ovaires polykystiques. Pendant 2 ans, j'ai suivi un "traitement" qu'Isabelle m'a proposé. C'était le seul à rendre les douleurs supportables et à réguler à peu près mes cycles menstruels. Par contre, dès que je l'arrêtais, ça repartait. Les médecins se disaient incapables de remédier au problème, il fallait que je fasse avec. Puis, après m'être battue, le diagnostic d'endométriose a été posé. Là encore, la médecine ne proposait que la chirurgie ou la pilule. Quand on veut avoir un enfant la pilule est loin d'être un choix, quant à la chirurgie... Isabelle a immédiatement réadapté le "traitement" et, au bout de 3 mois, j'ai même pu l'arrêter car tous les effets de la maladie devenaient tout à fait supportables et gérables. C'était impensable avant ! Le travail n'est pas fini mais un long chemin a été parcouru".
"J'ai contacté Isabelle pour un problème d'infertilité. Elle a été la première à me parler d'endométriose. Aucun gynécologue ou endocrinologue n'avait évoqué cette maladie avec moi auparavant malgré les signes évidents : douleurs importantes au moment des règles, cycles très irréguliers (24 à 38 jours), grosses fatigues, migraines... On m'avait diagnostiqué des ovaires polykystiques. Pendant 2 ans, j'ai suivi un "traitement" qu'Isabelle m'a proposé. C'était le seul à rendre les douleurs supportables et à réguler à peu près mes cycles menstruels. Par contre, dès que je l'arrêtais, ça repartait. Les médecins se disaient incapables de remédier au problème, il fallait que je fasse avec. Puis, après m'être battue, le diagnostic d'endométriose a été posé. Là encore, la médecine ne proposait que la chirurgie ou la pilule. Quand on veut avoir un enfant la pilule est loin d'être un choix, quant à la chirurgie... Isabelle a immédiatement réadapté le "traitement" et, au bout de 3 mois, j'ai même pu l'arrêter car tous les effets de la maladie devenaient tout à fait supportables et gérables. C'était impensable avant ! Le travail n'est pas fini mais un long chemin a été parcouru".
Novembre 2018, Anne.
"Notre petite fille a eu un accident de santé à 3 mois : un jour, elle s'est réveillée et Constatant que la médecine classique ne pouvait apporter de solution, je me suis orientée vers la médecine naturelle. Le champ s'ouvrait largement car je ne connaissais absolument pas ce monde-là. Il m'a fallu du temps, et d'heureuses rencontres avant de contacter Isabelle Elson, vers la fin de la première année de notre petite fille.
Isabelle Elson est très riche de son expérience personnelle et professionnelle, de ses connaissances et de son intuition. Entière et rigoureuse, pédagogue, sa démarche est globale et son accompagnement toujours à l'écoute et soutenant, avance en profondeur. Soucieuse de me laisser un jour autonome dans la gestion de la santé de mes enfants et de la mienne, elle m'envisage en partenaire (quel soulagement après avoir été si peu entendue de la médecine classique).
Grâce à la naturopathie, notre petite fille partie si loin revient peu à peu. C'est un long chemin, parfois décourageant, et avec beaucoup d'espoir. J'ai découvert la puissance de guérison des plantes, de la nature. Et ce qui me laisse beaucoup d'espoir, c'est d'avoir vu des résultats très rapidement. Cette expérience change mon regard sur ma place dans la nature, affine mon rôle de maman, m'ouvre à plus de liberté aussi. J'entre peu à peu dans une logique qui m'était tout à fait étrangère. Cette logique heurte parfois mes raisonnements antérieurs. Après une telle expérience, je n'imagine pourtant pas un retour arrière. Je sais maintenant qu'en tant qu'individus, nous sommes dans la nature et non face à elle et qu'il nous appartient d'y trouver ce qui fera du bien à notre corps, à notre santé. Et puis en choisissant cette thérapie pour soigner ma fille, je lui évite tous les effets secondaires associés aux médicaments et à leurs divers polluants. Pour moi, c'est quelque chose d'essentiel. Je trouve que cette thérapie est une recherche constante d'équilibre : il faut régulièrement réactualiser son approche, observer, s'adapter aux réponses de son corps, redevenir acteur dans la gestion de sa santé."